Localement quand on fait du sport on utilise le verbe « jouer ». Le jeu fait parti de l’équilibre mais ne peut être suffisant à alimenter l’étincelle du dynamisme que l’on recherche ici.

Pour fournir de l’énergie sur le long terme, il est plus fondamentalement nécessaire de donner un sens à nos actions. Surtout que concrèrtement, je comprends que le jeune djiboutien sans activité, pourra passer un bon moment « superflu » en faisant une sortie en mer ou la montagne, mais ce qui l’intéresse/l’inquiète : c’est davantage le long terme et les choses plus essentielles et vitales.

Les nouvelles qui nous parviennent de l’extérieur (en recherchant les bonnes conférences) décrivent notre époque actuelle et les années à venir, incha Allah, comme une période charnière pour l’humanité, marquée par des turbulences mais aussi des opportunités historiques à saisir, surtout pour les jeunes. 

Pourtant face à cela, je vois la plupart des jeunes djiboutiens désemparés et manquant d’orientation pour prendre ce train en marche. Je voudrais bien avec mon regard de cinquantenaire, les conseiller/coacher selon mon ressenti.